Retour à Le BAR (ou W-E Bandhoulle)

2009 : Londres

God Save the Bandhoulle !

 

eurostar

Vendredi 16 janvier: an de grâce 2009 : après une semaine harassante de cours voire de partiels, et avant que les petits G1s ne rejoignent leurs contrées respectives pour un mois de stage, la troupe se rejoint devant l’avant-poste du Home Office pour embarquer dans l’eurostar à destination de la Perfide Albion. Après un voyage riche en pouets et en rebondissements, nos yeux furent frappés par la beauté saisissante du ballet des bus rouges, et aussi par l’éclat du gilet jaune de Toon. Après un set devant la gare, réjouis par les offrandes en liquide(s) dont les Anglais nous ont gratifiés, nous décidâmes de finir la soirée … dans un bar. Fin de l’acte I.

 

 

 

 

soubaSamedi 17 janvier : RdV 10h à l’auberge de jeunesse. 12h : nous partons enfin, direction le Tate Modern Museum pour un set qui défrise les moutons ! (et une figuration sur un film de mariage). Après deux heures à satisfaire un public en folie, des anglais déploient un statagème ingénieux pour nous faire partir (voir la photo). Nous partons donc faire un petit tour des bords de Tamise pour devenir pour une fois le public (en folie) d’artistes de rue. Rendez-vous ensuite … dans un bar. Devant la grande générosité du public d’outre-Manche, Mirza, then-treasurer, offre le resto à toute la Bandhoulle. Direction ensuite Brick Lane. Après une recherche infructueuse d’en endroit pour jouer et sous une pluie battante, nous échouons sous un pont. N’ayant d’autre occupation, nous nous mettons à jouer; soudainement un public en folie surgit d’on-ne-sait-où (l’Angleterre est un pays bizarre…) et envahit la rue ! Une boîte de nuit (une des plus en vogue de Londres, nous a-t-on dit) nous fait même rentrer ! Après tant d’émotions, nous terminons notre soirée dans un bar (sans blague !). Fin de l’acte II.

mot

frakanDimanche 19 janvier : Juste le temps de faire un dernier set devant la gare, les G1 disent adieu au groupe et embarquent pour avoir le temps de rentrer chez eux, les autres restent encore un peu, Manix lançant une attache chimique dans le train, faisant regretter à certains passagers de devoir continuer jusqu’à Bruxelles.

Snif snif, c’est déjà fini, fin de l’acte III, fin de la pièce.

 

cargo

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